vendredi, novembre 24, 2006

Bernard Werber - La révolution des Fourmis


1+1=3

Du moins je l'espère de tout mon coeur

C'est tout ce que j'avais a dire ici !!!

jeudi, novembre 23, 2006

Bernard Werber - Le jour des Fourmis

-Tout est un (Abraham)

-Tout est Amour (Jesus Christ)

-Tout est économique (Karl Marx)

-Tout est sexuel (Signum Freud)

-Tout est relatif (Albert Einstein)

Et après...

mardi, novembre 21, 2006

Bernard Werber - Les Fourmis

Pendant les quelques secondes qui vont être nécessaire pour lire ces quelques lignes :

-40 Humains et 700 millions de fourmis sont en train de naître sur terre.

-30 humains et 500 millions de fourmis sont en train de mourrir sur terre.

-Humain : Mammifaire dont la taille varie entre 1 et 2 mètre. Poids entre 30 et 100 kilos. Gestation des femmelles 9 mois. Mode de nutrition amnivore. Population estimé a plus de 5 milliard d'individus.

-Fourmis : Insecte dont la taille varie entre 0.01 et 3 centimètres. Poids entre 1 et 150 milligrame. Ponte à volonté selon le stock de spermatozoide. Population probable : plus de 1 milliard de milliard d'individus.

Quand même...

vendredi, novembre 17, 2006

Bernard Werber - Le père de nos père

-Imbécile ->Vivre comme un imécile, c'est vivre sans bâton; c'est une allusion au fait qu'il faut toujours avoir un bâton si on ne veux pas choir. Vivre sans s'ppuyer sur aucun dogme, aucun principe rigide, aucun tuteur; c'est courageux, non ?

-Stupide -> Du latin stupidus : frappé de stuppeur. Le stupide est celui qui s'étonne de tous, donc s'émerveille de tous. J'espère être stupide.

-Idiot -> Signifie particulier en Grec. J'espère être quelqu'un de particulier.

-Con -> Signifie le sexe de la femme. Traiter quelqu'un de con, c'est l'associé à ce qu'il y a de plus fertile et de plus charmant.

Et vlan dans les dents !!!

lundi, novembre 13, 2006

Richard Desjardins - Les veuves




L'action se passe sur ces montagnes qui accompagnent le Saint-Laurent ou rien ne bouge depuis le BigBang a part la vie naturellement.

Pour monter là c'est officiel faut pas qu'tu mette ton plus beau linge, sac a comis, foule St-Michel, falaises a pic en face de singe.

Mais rendus là c'est pas mal beau, avec des arbres gros comme ça. C'est là qu'la lune fait ses plus beau show, lune après lune à vivait là

Indienne, métis, tu l'sais pas. Dirais qu'Est là depuis toujours. À décendait a fin du mois chercher son chèque et de l'amour

Fille de trappeur d'la nuit des temps, de leur histoire y'a rien d'écrit. Chose est certaine y'ont sacré l'camp quand y'ont bâtis l'moulin a scie. Sauf elle, sa vie ce passe ici.

D'ailleur personne n'a les yeux sur son domaine, peut-être un jour une pente de ski, même la, trop loin, ça vaut pas la peine.

Pour le moment l'monde est content, l'moulin roule sur trois chiffres. Y mange des arbres y chie d'l'argent.Tabbo ta gueule pis cache ton lit.

On va attendre, on verra ben. Chercher son bois...Trop trop cher. Tous l'monde sait qu'une forest vaut rien tant qu'est pas à terre.

En bas pourtant la forest s'enffuyait sous les lames de l'Acier. La loi des moulin est ainsi faite que toute forest n'est pas assez.

L'signal est vnu des camionneurs. Tanné d'aller toujours plus loin Y veulent se faire payer a l'heure... pour casser la croute, ça prend du pain.

Ouin, le bois est rare ça c'est un fait, on est rendu presque a toundra. Les stocks baissent, faut faire de quoi... Aller en haut, c'est en plain ça.

Priorité l'moulin a scie, réalité qui tombe sur l'sens. On va avertir l'Abenaki, lui expliquer les circonstences.

Un diplomate, un diplomé en coupe a blanc, un ingénieur. Laissée moi la j'vas y parler, propre et polis comme un acteur

Bonjour j'm'appel Sylvain Rondain, J'm'en viens vous dire qu'on viens bucher, mais par chez vous on va être fin, on va n'en prendre, pis n'en laisser.

À Dit :S'cusez, j'comprend pas tout, vous d'mandez ma permission ? Vous v'nez me dire vous êtes chez nous... dans ce cas la monsieur c'est non

Y dit ...chez vous... faque montrez moi vos titre de propriété.

À dit :Mes encêtre étaient là avant l'invention du papier.

Y dit :L'village y fait sa part, on est d'service non après tout.

À dit : Ça, ça marche d'in deux bord, vous payez rien pour être chez nous.

Quand y'ont sus ça en bas d'la côte, a brasserie. A ben l'ingrasse, ça manque un peu d'politesse. A prend d'un bord, à donne pas d'lautre, d'la vrai sagesse de sauvagesse.

On va y payer son party d'fun. On pense a d'quoi, on tiens ça mort. L'écran géant, l'homme au forum, après souper, le sport c'est fort !

On s'passe le mot dans la confrérie, partout ou s'quelle est, partout ou s'qua va : à l'épicerie, à pharmacie; on fais semblant qu'elle est pas là.

Une tête heureuse se laisse convaincre que lui y pourrait sauver l'village. En plus, c'Est agréable, t'a rien qu'à lui rendre tes bon hammages.

Dehors la lune veut boire d'la bière qui y monte a tête tout doucement. Y sent s'exhausser sa prièere, devenir quelqu'un finalement.

Faque y se déguise en bon garçon, grimpe la montagne, la lune est soul. Le v'la qui s'approche de la maison, sa tête a fume sous la cagoule.

Y'en a déja pêté des gueules en sang, oui mais c'était toujours des hommes. La s'qu'aperçoit, s'comme ça momant. son coeur déborde vrai solo d'drum.

S'y y s'écoutait parler y vrirais d'bord, oui mais après quoi dire au chum. Faque y s'envoie une shotte de fort et clanche à l'intinc minimum.

Le chien d'abord : viens ici viens ici... pendue vite faite drette au portail. Défonce la porte j'entand des cris... on laissera faire pour les détails.

Le lendemain soir noir de colère a se dirige vers l'école. Un bouquet d'femme en cours du soir ; pastel batique et pti pot d'colle.

La pause café, en plein milieu, elle surgis L'abénaki. Mon douc Jésus qu'essé qu'a veut. Elle sais qu'elle savent, pourquoi et qui.

À dit : Un de vos homme est infidèle, j'en suis témoi préviligié. J'veux qu'on l'trouve qu'on y rappel qui a oublié de m'tuer.

Les femmes on j'té les yeux par terre, cherchaient une raison dans poussière. Une dit :
Comme toute réponse elle fut mauvais. Sans état d'ame y sont monté avec des machines japonnaises. 30 jours, 30 nuits : forest ouvrable.

À la brasserie, les mâles en trans, fin d'la 3eme c'est 3 à 2, pus d'gardien. Elle s'avance, débranche l'écran, les yeux din yeux.

À dit : j'ai tout perdu, c'est qui dites le. ATTAQUE MASSIVE DE SILENCE. Mais j'vais garder ma dignitéc'est qui dites le c'est la dernière chance.

Abenaki ti coeur après neuf heure. Y partent a rire, a se fait barrer. A sort dehors, a pue l'malheur. Y r'brance l'écran Kin y'ont scoré !

La nuit est noir, a suit son plan. A sort sa drill zuiii zuii, zuii zuii. À vis les portes, sont en pins blanc, ça pas été long.

Voici la suit. Prolongation, la tension monte, la dernière game d'un quatre de sept, dans la clameur d'un ;ance et compte, le galon d'gaz et l'allumette

L'ENFER. Que les yeux pour pleurer car c'était sérieu. Et dans l'écho d'la vallé, les trocks a feu, les s'crise de beu.

A se cache jsuqu'à l'enterrement, au cimetière, et oui la v'la.

À dit : J'lai pas trouvé malheureusement, y doit être au ciel...j'veux y aller à tend une corde PENDEZ MOI !

lundi, novembre 06, 2006

Richard Desjardins - le Gala

-Planté ben drette comme des piquettes
Roulés dans leurs habits, frais comme des sushis
Un verre de vin par ticket

-Y'ont mis la su-la roulette
Y se demandent Qu'ess qui fais là gros gars avec sa chain-saw ?
c'est tu un acteur ? c'est tu lui l'animateur?

-Y s'approche du micro
trois quatre tite tappes feed back en echo
s'amule un cigarette
gros roche de nicorette din amigdale d'la gouverneur générale

-Pis la, minou s'avance sur scène
poudrée comme un beigne
copie coforme d'al friponne qu'a joue subtilement depuis 40 ans pour tim horton

-À va tu lui dérouler le rebord ?
à table de spectra, ça rie très fort

-Qu'ess tu fais là gros gars avec sa chain-saw ?
Qu'a dit de sa belle voie de torsade au miel
qui dit crinquant son engin

-La salle croule
La lame roule
Y fend en deux des nuages de boucanne bleu

-Ça crie au génie, c'est tu du mouffe
Minou s'étouffe
son glaçage craque

-Gros gars vire de bord et passe au acte
se fraiye un chmin dans l'décord jusqu'au 500 trophés
Plaximoulé, plaquette en or, ça chain-saw fait pas d'catégorie,
tous le monde aura pas son prix

-Le gala tire a sa fin
Minou se r'place les seins

-Gros gars s'approche du micro
trois quatres tites tappes, feed back en écho
VOUS POUVEZ TROUVER LA DEDANT
LE PEU QUE VOUS MÉRITEZ VRAIMENT

-Dans l'bruit des sirène y sort de scène
Chain-saw au poigt
Lentement y'éteint son mégot
dans mousse caramel
d'la ministre des affaires culturelle.

vendredi, novembre 03, 2006

Richard Desjardins

Les Yankees

-Tell me my friend qui est le chef ici, et qu'il se lève

Et Le soleil se leva.

-Allez Gingo, que Dieu te blesse.

Jenny

-À chaque fois que j'vois quelque chose de beau je pense a toi

Kooloo Kooloo

Tant qui y'aura des fruits, y'aura de l'alcool et tant que je s'rais en vie, y'aura des années folles.

L'erreur Boréal

Bienvenue en Abisonie en cette journée la plus belle de l'histoire d'la terre

L'ambaumeur forestier

Le ciel est bleu, la mer est calme : ferme t'a gueule et rame.

Le prix de l'or

Combien de fois faut-il crever pour contempler ce dieu Satan

Buck

-La criss de paix oh yeah, la vie rêvé oh yé

-Le ciel est blue, ma vue est flou, j'sus, j'pus, chez pu chu rendu

Rastaquouère

Étrangé ayx allures voyante affichant une richesse suspecte... exemple, le pape en afrique.

Le chant du bum

Chu tu un homme libre ou ben un bum perdu ? M'a mette un homme la d'sus

La tobogan volante

Fly Fly Fly tobogan de dant le sky, plus loin qu'la lune et les anneau d'saturne.

Monologue

-5551212 toi et moi c'est merveilleux !

-On fait tu un char ou bedonc si on achète un pti... la char son pti les pti sont rare...

-Voici la légendaire histoire qui était tellement down qui sentait l'asphalte.

-Mon masque a un smile que seul la mort peut satisfaire.

mercredi, novembre 01, 2006

The 25th hour

-Back in a flash...

-Im iresch I can't get drunk

-Yeah fuck you too, fuck me? fuck you. Fuck you and this whole city and everyone in it.

Fuck the Panhadlers grubbing for money.Smiling at me behind my back. Fuck the sqeegee man dirtying up the clean windsheild of my car; get a funcking job.

Fuck the sikhs and the Pakistanis bombing down the avenues in decripit cabs. Curry steaming out their pores. Stinking up my day. Terrorist in fucking training. Slow the fuck down.

Fuck the Chelsa boys whit their waxed chest and pumper up biceps, going down down on each other in my parks and on my piers. Juggling thier dick on my chanel 35

Fuck the koren grocers whit their pyramids of overprices fruit, and their tulips and roses wraped in plastic. Ten years in the country, still no speaky English.

Fuck the russian in Brighton beach mobster thugs sittin in cafés, sippins tea in little glasses, sucer cubes between thier teeth, wheelin' and dealin' and Skhemin'...Go back where you fucking come from.

Fuck The blakc hattes hasidim, strolling gabardine whit their dand ruff, selling south Africa apartheid diamonds.

Fuck the Wall Street brokers, self styles master of the universe, Micheal Douglas, Grodon Gekko wannabe motherfuckers figuring out new ways to rub hardworking people blind. Send those Enron asshole to jail for fucking life. You think Buch and Cheney didn't know about that shit ? Give me a fucking break.

Fuck the puertoricains, twenty to a car, swelling up the walefare rolls. Worst fucking parade in the city. And don't even get me started on the Dominicans, cause they the PuertoRicains look good.

Fuck the Bansanhurst italian whit their pomated hair, their nylon warm-up suits, their St-Antony medallions, swinging their Jason Gambi Louiseville slugger Baseball bats, trying to anditon for .

Fuck the uppereast sidewives whit their ilermes scarves and their 50$ Balducci artichoke. Overfaced getting pulled and lifted and stretched all faut and shing. you're not fooling anubodu sweetheart.

Fuck the uptown brothers. they never pass the ball, they don't want to play defense, they take five steps on every layup to the hoop, and they want to turn around and blame everything on the white man. Slavery endend 137 years ago, Move the fuck on.

Fuck the corrupt cops whit their anus violating plungers and their 41 shots standing behind a blue wall of silence. You betray our thrust !

Fuck the priest who put their hands down somme innocent child's pants. Fuck the church that protect them, delevering us into evil. And while you're at it, Fuck J-C, He got off easy : a day on the cross, a weekend in hell, and all the halleujah of of the legioned angels for eternity. Try seven years in fucking Otisville J.

Fuck Osame Bin Laden, Al Qaeda, and backward-ass cave dwelling fundamentalist asshole everywhere ont he names of innocent thousands murdered, I pray you spend the rest of eternity with your 72 whores, roasting in a jet fuel fire in hell. You towel-head camel jockeys can kiss my royal Irish ass.

Fuck Jakub Elinsky. Whining malcontent.

Fuck Francis Xavier Slaughtery, my best friend, judging me while he stares at my girlfriend's ass.

Fuck Naturelle Rivera. I gave her my trust, and she stabbed me in the back, Sold me-up ther river fucking bitch.

Fuck me father with is endless grief, standing behind that bar, sipping on club soda, selling whisky to fireman and cheering the Bronx Bombers.

Fuck this whole city and everyone in it. From the row houses of Astoria to the project in the Bronx, to the loft in soho, from the tenements in Alphabets cityto the brown stone in park slope, to the split level in staten island, Let an earthquake crumble it, let the fire rage, let it burn to fuckingans and them, let the water rise and submerge this whole rat-infested place.

Fuck you Montgomery Brogan. You had it all, and you threw it away, you bum fuck.

Hola...

C'est tout ce que je trouve a dire !